Cette année, les lapins en chocolat peuvent rester dans leurs terriers. Pâques prend une toute autre dimension avec la pâte à tartiner d’Antoinette, née d’une collaboration entre Confiture Parisienne et À Paris Chez Antoinette Poisson.
Ici, pas question d’une simple gourmandise. Ce pot renferme une alchimie subtile : la douceur de la noisette se frotte au croquant du sarrasin torréfié, clin d’œil aux galettes bretonnes qui hantent les souvenirs d’enfance. Le résultat est addictif, presque irréel.
Chaque détail a été soigné, du goût à l’esthétique, avec un pot habillé d’un décor inspiré des papiers dominotés du XVIIIe siècle. Un objet qui ne finira pas au fond du placard, tout comme son coffret en édition limitée.
Pâques devient ainsi une quête, non plus d’œufs en chocolat, mais d’un trésor en pot. Et comme tout ce qui est rare, il ne faudra pas tarder.