Environ 25 000 personnes se sont réunies dans plus de 200 pays d’Écosse, à Glasgow pour discuter, débattre et, espérons-le, convenir d’une voie à suivre pour lutter contre le changement climatique.
Le débat sur les aliments d’origine végétale
Les produits alimentaires d’origine animale, en particulier le lait et la viande, ont fait l’objet d’un examen minutieux. Et, à l’approche de la COP26, ce débat n’a fait que s’intensifier.
La raison n’est pas aussi évidente qu’on pourrait le penser. Certains sont motivés par leur désir de sauver la planète, tandis que d’autres sont motivés par les bénéfices potentiels des tendances végétales et cellulaires.
Ce à quoi nous ne pouvons pas travailler, c’est une planète saine au prix de fournir des aliments encore plus malsains aux citoyens du monde.
Malnutrition
Actuellement, près d’un milliard souffrent de malnutrition en raison du manque de calories. Et ce malgré que nous produisions plus qu’assez de nourriture pour nourrir tout le monde.
Environ deux milliards de citoyens souffrent de malnutrition en raison d’une consommation trop importante de calories vides. La majorité provient d’aliments végétaux hyper-transformés.
Un autre milliard sur la planète qui souffre de la faim cachée, c’est-à-dire d’un manque de micronutriments vitaux dans leur alimentation.
Bien choisir son alimentation à base de végétaux
En définitive, il faut se méfier de tous ses aliments dit végétaux ultra-transformés. Ils n’offrent pas l’apport nutritif suffisant. Dans ce cas, le passage à une alimentation végétarienne semble inutile si elle ne répond pas aux besoins vitaux.
L’adoption d’une approche flexitarienne de l’alimentation peut être une option. Mais à condition qu’elle soit bien faite. Il faut utiliser des produits végétaux non-transformés riches en protéines et nutriments.