De la responsabilité des agences de communication, des producteurs de publicité et des médias d’avoir le courage de refuser certains budgets annonceurs afin de cesser de « polluer » les français avec la promotion de produits alimentaires mauvais pour les consommateurs et la planète.
(…) Selon l’agence, les annonces pour des produits affichant un Nutri-Score D et E – les plus gras, salés et sucrés, selon cet outil qui évalue la qualité nutritionnelle des aliments sur une échelle de A à E – représentaient, en 2018, « 53,3 % des publicités alimentaires vues par les enfants, 52,5 % de celles vues par les adolescents, et 50,8 % des réclames vues par les adultes ». (…)
(…) La moitié des publicités pour les produits gras, salés et sucrés sont en réalité vues entre 19 heures et 22 heures, à l’heure du prime time,quand plus de 20 % des enfants et des adolescents sont devant leur écran. SPF calcule qu’en 2018, les 4-17 ans ont vu en moyenne seize réclames par semaine pour des produits ayant un Nutri-Score D ou E. (…)
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