Repulp revalorise les déchets d’agrumes pour qu’ils fassent peau neuve !
Repulp est né du constat de ses deux fondateurs, Victoria Lièvre et Luc Fisher, que les français consommaient énormément d’agrume et que dans une production de jus d’orange 50% du fruit partait au rebut.
Ils imaginent alors utiliser les déchets d’agrume afin de produire un nouveau matériau. Ce projet devient une alternative aux plastiques issus de la pétrochimie ainsi qu’à la vaiselle en verre et céramique non recyclable.
Le matériau Repulp est compostable est donc s’insère dans un cercle vertueux. La couleur varie selon l’arrivage d’agrume, principalement l’orange, sans ajout de colorant artificiel !
En soutenant le projet en financement participatif sur KissKissBankBank, la marque demande aux consommateurs de participer au rêve de créer de nouveaux modes de production et consommation tout en minimisant l’impact sur nos ressources.
Une histoire de pulpe
L’orange est le troisième fruit le plus apprécié par les Français, nous consommons, pas moins de 25 kg d’agrumes par an et par personne. À l’échelle d’un restaurant les déchets étaient énormes, alors rapportés à la consommation de l’hexagone, cela paraissait pharamineux.
La culture des oranges en France atteint les 5 000 tonnes par an et 6 millions de tonnes en Europe. La production s’étend essentiellement en Afrique du Nord, Corse, Espagne mais aussi sur la Côte d’Azur.
Dans une production de jus d’orange 50% du fruit part au rebut. Par rapport à la production française cela fait, pas moins de 12 000 tonnes de déchets. Et à l’échelle européenne, plus de 3 millions de tonnes.
Un projet régional
Dans le but de produire local et français, Repulp a mis en place un partenariat avec l’entreprise Kookabarra; une entreprise de jus de fruit frais pressé, basé dans le Vaucluse, qui a à cœur de travailler local et de saison.
La marque récupère les déchets issus de leur production de jus de fruit afin de pouvoir fabriquer cette nouvelle matière première.
Plus d’information sur www.kisskissbankbank.com
