Comment les entreprises agro-alimentaires en mode agile tirent leur avantage des faiblesses des mastodontes historiques ?
Début septembre, bcg.com a publié un article d’actualité intitulé : « comment les grandes entreprises de consommation peuvent t-elles se défendre ? » qui reflète la vision que Happyfeed dissémine depuis maintenant deux ans, au quotidien, auprès des différentes parties prenantes de l’agro-alimentaire,
En toile de fond plusieurs sujets incontournables !
Les consommateurs ont changé… ils consomment plus de marques, « de plus petites tailles », plus agiles, qui sortent progressivement de dessous les radars
Dans l’ensemble de leurs actes d’achats, à commencer par l’alimentaire, les consommateurs ont changé !
Leur préférence va très souvent à de petites marques, moins connues, qui montent !
Les consommateurs multiplient leurs expériences alimentaires et fragmentent leurs achats et une des répercussions directe est leur volatilité dans leurs actes de consommations alimentaire au quotidien.
Si l’on grossit le trait, une tendance semble évidente : le retour aux produits sains et naturels pour l’ensemble des consommateurs et en particulier pour les nouvelles générations (Y et Z) qui aspirent à un retour des produits alimentaires authentiques.
Le règne des grandes marques est-il entériné ? Back to basics…
L’échelle d’une société ne garantit plus son avantage concurrentiel !
Les entreprises agro-alimentaires historiques doivent mettre au cœur de leur stratégie la satellisation de leurs innovations (élargir l’offre avec plus de marques, plus agiles, portées par des visionnaires investis par une « mission »)… et dans le même temps comprendre les besoins non-satisfaits des consommateurs.
A l’instar des jeunes entreprises alimentaires innovantes en mode agile, les marques historiques doivent apporter une expérience à leurs consommateurs en réinventant leurs interactions avec ces derniers.
La vérité appartient aux jeunes entreprises innovantes
Les jeunes entreprises agro-alimentaires en mode start-up sont la plupart du temps portées par des chefs d’entreprises ne venant pas de l’alimentaire et guidés par leur vision de consommateurs et leur pragmatisme.
Ils sont capables de créer des prototypes rapides, de faire du test en learn sans passer par une kyrielle de tests consommateurs classiques et révolus !
Un changement lancé il y a déjà cinq ans à l’échelle mondiale
En France le changement du paysage alimentaire a commencé à s’opérer très récemment avec la capacité d’entreprises à louer les moyens de production plutôt que de les posséder, grâce à l’arrivée d’investisseurs qui ont vu dans le food « le nouvel eldorado », grâce aux nouveaux moyens de toucher les consommateurs à travers notamment les médias sociaux et au numérique, et enfin avec l’ouverture des distributeurs qui a permis à l’offre de nouveaux produits food de s’élargir de manière croissante. Et ce n’est que le début…
Ce qui a changé ce ne sont pas les besoins des consommateurs mais la capacité à de petites structures d’y répondre plus efficacement soit « à des start-up d’exploiter de manière rentable et avec peu de moyens des besoins mal desservis » !
Au cœur de ces bouleversements pour l’alimentation et les consommateurs, Happyfeed est plus que jamais optimiste et œuvre chaque jour pour accompagner les créateurs de l’alimentation de demain vers une offre plus « Positive » !