Actualité agro-alimentaire

Bonneterre lance 4 nouvelles boissons végétales à base d’avoine

A découvrir sans attendre dans les rayons des magasins bio : trois versions à boire et à cuisiner et une aide culinaire, toutes issues de la filière avoine de Bonneterre.

L’avoine qui défend la biodiversité

En 20 ans, suite (entre autre) à l’agriculture intensive, la moitié des papillons a disparu, les habitats naturels se sont éclipsés en même temps que les haies, les insectes se sont raréfiés, la vie du sol s’est amenuisée… et pourtant ces espèces sauvages nous sont plus que nécessaires. Elles assurent des fonctions écologiques indispensables à l’agriculture (prédation des ravageurs, pollinisation des fleurs, décomposition de la matière organique…).

Depuis sa création en 1973, Bonneterre est attachée à la préservation et à la défense des terroirs et de la biodiversité. Ce printemps, avec sa toute nouvelle filière avoine BIO 100 % française, Bonneterre s’engage à offrir le gîte et le couvert à l’ensemble des écosystèmes, tout en tonifiant les gastronomes de 3 nouvelles boissons gourmandes et 1 aide culinaire.

Un tout nouveau partenariat avec une coopérative d’agriculteurs en Bourgogne, 100% engagés pour la défense de la biodiversité

Pour lutter contre la diminution de la biodiversité et fort du succès de sa filière Soja mise en place en 2017, Bonneterre s’est rapprochée en 2019 de la coopérative bourguignonne COCEBI pionnière dans l’agriculture biologique, dont les pratiques agricoles respectent et maintiennent la biodiversité dans les espaces cultivés.

Les fermes des 200 agriculteurrs adhérents garantissent :

  • L’absence de chimie, remplacée par un écosystème naturel équilibré avec peu d’intrants externes, qui jouent sur la complémentarité des espèces cultivées en bio.
  • L’association de la culture des céréales avec une activité d’élevage, dont la fumure organique enrichit les sols et les rend vivant.
  • Des rotations longues de 7 ou 8 ans, afin de ne pas épuiser les sols, de rompre les attaques des bioagresseurs (ennemis naturels des végétaux) et de diversifier les activités de l’exploitation.
  • Des parcelles de petites tailles, délimitées par des haies ou des bandes forestières ou enherbées.
  • Un contrat long de 3 ans, avec des volumes en progression, un prix minimum garanti et un revenu rémunérateur, indexé sur le coût de production. Tout est mis en œuvre pour développer une filière vertueuse pour l’environnement, le producteur et le consommateur.

Plus d’informations sur www.bonneterre.fr

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