Le Financial Time a publié dernièrement un article nommé « Consommation de masse : grandes marques contre petits nouveaux » qui est le reflet de la vision des fondateurs d’Happyfeed depuis 2015.
Notre « combat » pour informer les industries agro-alimentaires puis les accompagner pour répondre aux défis de la (r)évolution de l’éco-système alimentaire est d’autant plus pertinent qu’il a été initié depuis plusieurs années maintenant.
Et tout reste à jouer, au quotidien, pour permettre à des « gros » de survivre et des « petits » devenir les références de la consommation de masse de demain.
Selon le Financial Times : “Les grandes marques sont très bonnes pour appliquer des business models éprouvés. Mais leur bilan en matière d’innovation pure et radicale ces 20 dernières années est carrément mauvais”.
Ces groupes ont été étonnamment lents à s’apercevoir des changements de goûts de leurs clients.
Les consommateurs jeunes mangent des barres de céréales Kind ou du yaourt Chobani au petit-déjeuner, ils utilisent des lames de rasoir achetées en ligne sur les sites Harry’s ou Dollar Shave Club razors, ils boivent du café Peet’s Coffee, ils lavent leur linge avec le détergent aux plantes Seventh Generation, et le soir, ils se détendent devant une bière artisanale BrewDog ou une vodka Tito’s, avec un tonic Fevertree.
Selon le Boston Consulting Group, 22 milliards de dollars de ventes sont passés des grandes marques aux petites en Amérique du Nord entre 2011 et 2016, et la tendance est similaire en Europe. La part de marché que détiennent les petites marques dans le secteur des biens de grande consommation progresse, de 23 % à 26 % au cours de la même période, selon BCG et le cabinet d’études IRI.
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