Le fléxitarisme, comportement alimentaire croissant dans le monde, désigne les personnes qui sont principalement végétariens mais qui n’excluent pas la consommation exceptionnelle de protéines animales.
Le fléxitarien, lors d’occasions particulières (restaurant, repas en famille ou entre amis), peut manger de la viande, du poisson et d’autres produits issus de l’élevage d’animaux, tout en gardant ses principes végétarien ou végétalien chez lui pour son alimentation plus personnelle.Plus souple que le régime alimentaire végétarien, ce régime alimentaire appelé aussi semi-végétarisme a fait son apparition après 2010 et devient un mouvement de plus en plus suivi, 50% des américains se revendiquant fléxitariens en phase avec des fortes préoccupations d’une alimentation meilleure pour la santé et plus en phase avec le respect de l’environnement.
Aujourd’hui, en France, plus de 70 % des protéines que nous consommons viennent de la viande alors, qu’idéalement, Ail faudrait un partage égal entre protéines animales et végétales. Le fléxitarisme peut donc répondre à cet enjeu en privilégiant des légumes, des légumineuses, des céréales ou encore des fruits secs dont les richesses insoupçonnées peuvent remplacer des protéines d’origine animale.
Plus d’informations sur www.flexitarisme.com
[…] Plutôt que de s’aligner strictement sur un régime alimentaire unique (végétarien,…), les consommateurs flexitériens adoptent une approche plus souple et personnalisée pour une alimentation saine avec des protéines animales quand cela est nécessaire. Cela engendre une demande croissante de produits spécifiques comme le chou-fleur riz, le yogourt de cajou et le bouillon osseux. (lire l’article sur le fléxitarisme) […]
[…] Le fléxitarisme, comportement alimentaire croissant dans le monde, désigne les personnes qui sont principalement végétariens mais qui n’excluent pas la consommation exceptionnelle de protéines animales. Le fléxitarien, lors d’occasions particulières (restaurant, repas en famille ou entre amis), peut manger de la viande, du poisson et d’autres produits issus de l’élevage d’animaux, tout en gardant ses […]
D’après l’étude INCA 2, la part de la viande dans les apports en protéines totaux des français est de l’ordre d’un tiers.
Si on y ajoute les autres sources de protéines animales : poisson, œufs et produits laitiers, on arrive effectivement aux alentours de 70% des apports en protéines par des protéines animales, les protéines végétales apportant environ le tiers restant.
On est loin des recommandations d’un tiers de protéines animales pour 2/3 de protéines végétales, mais attention à la confusion entre viande et protéines animales, ce n’est pas la même chose…